Petit éloge du running
Résumé
La romancière revient sur son expérience de la course à pied depuis l'enfance puis propose, sous forme de marathon littéraire, une réflexion sur les coureurs, leurs motivations, leur rapport à l'effort, à la douleur et à leur corps, et sur ce que la course leur fait. Electre 2018
« La course à pied au sens large du terme, contient tout ce que l'Histoire contient d'histoires : de l'ère paléolithique à nos jours, elle incarne le drame humain, ses passions, ses conquêtes, ses victoires et ses défaites. D'un point de vue sportif, la course est un enfant sauvage, un mauvais élève, parce qu'elle ne répond à aucune règle, ne retient aucune leçon : la course se pratique quand on veut, où l'on veut, avec ou sans matériel, seul ou à plusieurs. Elle ne s'alourdit d'aucune contrainte ; elle incarne la liberté de l'homme à chercher, dans sa douleur, dans sa vitesse, dans ses capacités physiques, morales et psychologiques, la force d'avancer, même s'il s'agit de revenir au point de départ. Car en course, lorsqu'on part sans se poser de question, il arrive souvent que l'on trouve une réponse dans sa lancée. » Cécile Coulon Passionnée de course à pied – elle avale elle-même une quarantaine de kilomètres par semaine –, Cécile Coulon est romancière. Elle a publié une dizaine de romans, dont récemment, chez Viviane Hamy, Le Cœur du Pélican (2015) et Trois saisons d'orage (2017, Prix des Libraires). Elle prépare actuellement une thèse sur les liens entre sport et littérature.
« La course à pied, au sens large du terme, contient tout ce que l'Histoire contient d'histoires : de l'ère paléolithique à nos jours, elle incarne le drame humain, ses passions, ses conquêtes, ses victoires et ses défaites. D'un point de vue sportif, la course est un enfant sauvage, un mauvais élève, parce qu'elle ne répond à aucune règle, ne retient aucune leçon : la course se pratique quand on veut, où l'on veut, avec ou sans matériel, seul ou à plusieurs. Elle ne s'alourdit d'aucune contrainte ; elle incarne la liberté de l'homme à chercher, dans sa douleur, dans sa vitesse, dans ses capacités physiques, morales et psychologiques, la force d'avancer, même s'il s'agit de revenir au point de départ. Car en course, lorsqu'on part sans se poser de questions, il arrive souvent que l'on trouve une réponse sur sa lancée. »
Livre
Éditions les Pérégrines
2021
Disponible sur réservation
Autres formats et éditions
Infos complémentaires
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Langue originale :Français
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Auteur :
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Public :Adultes
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Langue de l'expression :Français
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Dimensions : 16 cm
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Importance matérielle : 1 vol. (117 p.)