Le destin de Marthe Rivière
Résumé
Jean-René Wolfgang, haut fonctionnaire de l'Éducation Nationale, enfant naturel né à Biskra en Algérie, a toujours cherché à percer le secret de ses origines. Sur les traces de sa mère, la découverte à Guéret, en Creuse, d'une importante correspondance familiale, lui ouvre les pages d'une histoire insoupçonnée.
Tout commence en 1918 dans les Pyrénées ariégeoises. Louis et Marguerite Rivière, instituteurs, ont deux filles brillantes, Émilienne, future normalienne et Marthe, qui rentre en première au lycée à Toulouse. Tout semble les opposer. Autant l'aînée est austère et rigoriste, autant sa sœur est séduisante et enjouée. Louis, en mal de patriotisme, décide d'accueillir un soldat en convalescence. Le bel officier américain d'origine française qui arrive à Mijanès, s'éprend de la jolie Marthe. Tandis qu’une vie aventureuse et romanesque attend cette dernière, la rigide Émilienne fait des choix contraires à l’aube des années troubles de la guerre.
Sur les chemins de leurs destins croisés, Jean-René n'est pas au bout de ses surprises…(https://www.georges-patrick-gleize.com/)
Livre
De Borée
2011
Disponible dans plusieurs bibliothèques
Infos complémentaires
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Langue originale :Français
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Auteur :
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Public :Adultes
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Langue de l'expression :Français
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Dimensions : 18 cm
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Importance matérielle : p.346
A propos de l'oeuvre
Résumé
Tout oppose les soeurs Rivière. Émilienne, austère et sérieuse, suit la voie familiale en devenant enseignante ; Marthe, séduisante et gaie, n'écoute que son coeur au mépris de la morale. L'une d'elles pourrait bien être la mère de Jean-René, un enfant naturel aujourd'hui en quête de ses origines. Plongeant dans le passé des Rivière, celui-ci va alors découvrir les pages d'une histoire insoupçonnée...
Le parcours étonnant de deux femmes à travers les tourmentes du XXe siècle.
- Bon, ce n'est pas tout, j'ai du travail à finir. Je vous laisse regarder à votre aise... Tous les papiers de Madame sont là, dans la petite bibliothèque, notamment son grand livre qu'elle feuilletait si souvent.
- Son grand livre ?
- Oui, vous trouverez facilement ! Ça ressemble à un très gros cahier, très épais, avec une couverture noire.
- Elle vous l'a montré ?
- Je ne l'ai jamais lu, si c'est ce que vous voulez dire. Je ne suis pas curieuse comme un pot de chambre, moi ! Mais Madame disait toujours que c'était ce qu'elle avait de plus important. Elle l'appelait «sa mémoire»...